Bonjour à toutes et à tous
Ci-dessous, statistiques de mon blog pour la dernère semaine :
Je ne sais pas comment vous remercier...
Mais je vais continuer à partager ce blog avec vous,
En espérant que vous continuerez à le suivre !!!
Encore mille mercis
La joie de l'équipe des Pays-Bas, vainqueur de l'Euro féminin face au Danemark, le 6 août 2017. — Shutterstock/Shuttersto/SIPA
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Le public néerlandais en rêvait, les «lionnes» Oranje l'ont fait : les Pays-Bas,
pays-hôte de l'Euro-2017 dames, ont remporté le premier Euro de leur histoire en battant le Danemark
4 à 2, dimanche à Enschede, au terme d'une finale aussi spectaculaire que disputée.
Les Oranje, qui avaient déjà battu le Danemark lors de la phase de groupes, ont récidivé au meilleur moment face à la talentueuse nation scandinave devant plus de 28.000 supporters en délire, et toujours avec la même recette : un jeu offensif ambitieux et enthousiaste, digne du «football total» de l'époque Johan Cruyff.
Si le spectacle a été au rendez-vous, c'est aussi parce que les stars des deux équipes ont su répondre présentes. Sur pénalty, la Danoise Nadia Nadim (7e) ouvrait le score d'entrée en jeu, mais son alter ego néerlandaise Vivianne Miedema répondait dans la foulée (10e). Revenues à 2-2 après un exploit individuel de Pernille Harder (33e), qui répondait au magnifique but de Lieke Martens (28e), les Danoises ont finalement cédé en seconde période.
C'est Sherida Spitse, à l'aide d'une combinaison astucieuse sur coup-franc (51e), qui a redonné l'avantage à son équipe. A partir de là, les Néerlandaises ont continué à pousser pour faire le break. C'est finalement Miedema, impressionnante dans la finition, qui a mis un terme au suspense en alourdissant le score en fin de match (89e).
La fête du foot féminin se termine comme il faut pour les Pays-Bas.
N.C. avec AFP
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Note des Auteurs :
"Arrivés à l'hôtel de Saragosse, la ville nous impressionne par la hauteur de ses bâtiments et par sa "cathédrale immense. Le réceptionniste du Ramiro 1 nous recommande la "calle el tubo", réputée pour son "ambiance et ses nombreux restaurants qui servent des tapas. Nous décidons d'y aller pour dîner."
Source : https://ci5.googleusercontent.com/
Chaîne Youtube : ROAD N'ROLL
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Teaser - Saison 01
https://youtu.be/eKVDz72oVus
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Auteurs : "Wouhouuuuuuuuu on prépare ce premier road trip depuis un bail et on vous invite cordialement à nous suivre le long de la route. Bienvenue à bord chers amis connus et inconnus, laissez nous vos messages, suivez et vivez l'aventure avec 3 Trolls bretons !"
Source : https://www.youtube.com/watch?v=eKVDz72oVus
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L'auteur, Olivier Bleys, nous propose de découvrir notre nouvelle Région au rythme du marcheur. Une cadence qui permet de s'arrêter, de découvrir nos territoires autrement, de s'étonner : ici l'architecture d'un lieu, là les habitudes des habitants... Armé de sa plume, de son appareil photo, de sa caméra et de son enregistreur, il est nos yeux et nos oreilles.
Voici quelques années, invité au Brésil pour une tournée de conférences, j’ai découvert Brasilia. Capitale du pays, siège des administrations fédérales, Brasilia est aussi un projet architectural d’une grande cohérence : la ville a été bâtie au milieu du désert, en mille jours seulement, selon un plan qui rappelle un oiseau aux ailes déployées.
En laçant mes chaussures pour marcher dans Royan, je songe à cette métropole lointaine que j’ai parcourue naguère à pied, vidant régulièrement ma bouteille d’eau car il y fait très sec. À première vue, les deux villes partagent peu de choses : l’une manque de pluie, l’autre borde l’océan ; l’une côtoie le tropique du Capricorne, l’autre habite l’hémisphère nord ; l’une enfin déploie une architecture pompeuse et officielle signée Oscar Niemeyer, quand l’autre est renommée pour le charme intime de ses villas.
D’où vient, alors, que l’office du tourisme royannais ait intitulé l’un de ses circuits « le souffle du Brésil » ? Les trois lignes décrivant l’itinéraire sur leur page Internet donnent peu d’indices. « Laissez-vous surprendre », propose Royan-tourisme. Chiche !
S’il fallait un seul motif à ma marche du jour, ce serait d’éclaircir l’énigme brésilienne de Royan. J’ai piqué des repères sur ma carte numérique, monuments, points de vue, sites remarquables qu’il s’agira de relier à pied, tels ces points numérotés dans les magazines de mon enfance.
(... suite)
NB : pour lire la suite de ce passionnant récit, cliquer sur le lien ci-dessous.
An Lalemant Photography
https://youtu.be/hyxbbrZpy0s
www.avelosanage.fr
Source : http://www.up-inspirer.fr/28811-relier-les-generations-a-velo
Par Marie-Eve Gualbert
http://fr.123rf.com/images-libres-de-droits/sieste.html
Salvador Dali avait coutume de faire la sieste dans un fauteuil confortable avec une cuillère en argent tenue entre le pouce et l’index à la verticale d’un plateau métallique. À l’approche du sommeil, le relâchement musculaire entraînait la chute de la cuillère. Le bruit signifiait pour le maître la fin de sa sieste. Il prétendait que ces pauses de courte durée étaient particulièrement bénéfiques à son bien-être et à son talent.
Il existe un grand nombre de manières de faire la sieste. De quelques minutes à plus d’une heure, uniques ou répétées, ces périodes de relaxation ou de sommeil sont à faire de convenance personnelle. Dans notre société éprise de vitesse, la sieste est souvent assimilée à un comportement régressif. Pourtant, tout prouve qu’elle est source de bien-être et de santé. Elle prévient l’apparition de nombreuses maladies physiques et psychiques et favorise l’optimisme et la joie de vivre.
En prenant de l’âge, lorsque les réveils nocturnes se multiplient, le déficit de sommeil pourra être récupéré grâce à un petit somme. Nombreuses sont les personnes que j’ai rencontrées (en particulier des femmes) qui se disent incapables de faire la sieste.
D’autres s’y refusent car elles ressentent un sentiment de malaise ou de brouillard au réveil. Ce phénomène, appelé "inertie de sommeil", est habituellement la conséquence d’une sieste trop longue entraînant un plongeon profond dans le sommeil.
En principe, les siestes les plus récupératrices, dont nous émergeons facilement et reposé, durent de 20 à 30 minutes. Ces pauses bénéfiques ne s’improvisent pas. Plus vous serez entraîné, plus vous récupérerez efficacement votre énergie vitale. Profitez de l’été pour apprendre ou vous perfectionner. Une fois que vous y aurez goûté, la sieste deviendra vite un besoin délicieux dont vous ne pourrez plus vous passer!
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L'aménagement de la voie verte Roscoff-Concarneau avait débuté en 2002.
La V7, qui serpente dans la campagne bretonne de la Manche à l'Atlantique, est la première véloroute d'intérêt régional achevée en Bretagne. Elle a repris en partie le tracé de l'ancienne voie de chemin de fer Morlaix-Carhaix, inaugurée en 1891. Jusqu'au Port de Carhaix, elle se confond avec la Vélodyssée qui descend jusqu'à Hendaye, dans le Pays Basque. La V7, elle, met cap au sud à travers les Montagnes noires pour rejoindre Gourin, Scaër et enfin Concarneau et sa ville close.
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Les premières bornes de cet itinéraire ont été posées en 2002 au départ de Roscoff. « Sur un tracé de 147 kilomètres, 95 kilomètres sont en site propre, explique Patrick Grulier, de la Direction des déplacements du Conseil départemental du Finistère. C'est-à-dire que la bande cyclable aménagée sur le tracé d'anciennes voies ferrées est interdite aux véhicules à moteur. Un gage de sécurité pour les familles. »L'aménagement de cet axe a nécessité 4,5 millions d'euros d'investissements, cofinancés par le Département, la Région et les communes traversées.
Dans les mois à venir, la collectivité va poursuivre sa politique d'aménagement et de fléchage. « Nous travaillons sur le tracé de la véloroute du littoral finistérien qui, logiquement, totalisera 600 kilomètres à l'horizon 2020. À ce jour, 200 kilomètres sont aménagés et fléchés. Il s'agit principalement de voies partagées, de petites routes de campagne, poursuit Patrick Grulier. Cet itinéraire est aussi axé sur le patrimoine. Des détours sont proposés aux usagers pour découvrir des monuments et des chapelles ».
Autre gros projet suivi par le Département, l'aménagement de l'ancien chemin de halage du canal de Nantes à Brest en véloroute. Soit 80 kilomètres de linéaire de Châteaulin aux Côtes-d'Armor. À terme, cette voie serait incluse dans le tracé de la voie verte V6 de Camaret à Vitré (35). Jusqu'à présent, et on le sait peu, l'usage du vélo, le long du canal, n'est que toléré dans sa partie finistérienne. Plus les années passent et plus les voies vertes consolident l'activité touristique de notre région. Une étude réalisée il y a trois ans par le Comité régional du tourisme faisait état de 4,1 millions d'usagers recensés par an sur ces axes. Aux deux-tiers, il s'agit de cyclistes qui y roulent d'avril à novembre. Certains sur de très longues distances. Les piétons et randonneurs, par contre, habitent généralement à proximité de l'endroit où ils vont marcher.
Les touristes étrangers sont très présents sur les voies vertes. Ils représentent 24 % des usagers.
Cette étude démontre également que les retombées économiques pour la région sont de l'ordre de 37,2 millions d'euros par an. Soit 15.000 euros par kilomètre de voie. Un bon niveau de rentabilité, sachant qu'en moyenne, un kilomètre de voie aménagée coûte à la collectivité 100.000 euros.
Source :
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/bretagne/voies-vertes-le-reseau-se-muscle-28-05-2016-11084678.php?xtor=EPR-3-[quotidienne]-20160528-[article]&utm_source=newsletter-quotidienne&utm_medium=e-mail&utm_campaign=newsletter-quotidienne#tbZZByR8U2lpgql1.99
Rennes, capitale du foot féminin. Avant le match de l’équipe de France contre la Grèce au Roazhon Park, le jeudi 3 juin (21 h), la capitale régionale abritera mercredi, au Parlement de Bretagne (de 17 h à 20 h), la cérémonie d’ouverture de la première Coupe du monde militaire.
La compétition, qui se déroulera dans l’Ouest du 26 mai au 5 juin, regroupe huit nations (Allemagne, Brésil, Cameroun, Canada, Corée du Sud, États-Unis, France et Pays-Bas), soit 184 joueuses. Les équipes s’affronteront au cours de 18 matchs programmés dans les villes de Rennes, Saint-Brieuc, Saint-Malo, Chantepie, Vannes et Cesson-Sévigné.
Parrainée par le président de la FFF Noël Le Graët, l’épreuve servira de tremplin à l’organisation de la Coupe du monde U20 en 2018, également prévue sur le territoire breton (le Roazhon Park accueillera l’année suivante plusieurs rencontres du Mondial « seniors »).
Entrée libre à tous les matchs
« La Ligue de Bretagne, forte de ses 145.000 licenciés, est heureuse et honorée d’accueillir cette première Coupe du monde militaire, déclare Rémy Fémenia, vice-président de la LBF. Cet événement doit permettre de mettre un coup de projecteur sur ce football féminin en plein essor en France [le cap des 100.000 licenciées est dépassé], ainsi que de valoriser cette terre de football et d’accueil au plan international. »
L’ancien arbitre de Ligue 1 Hervé Piccirillo, devenu commissaire aux sports militaires et commandant du Centre national des sports de la Défense (CNSD), espère quant à lui une « fête populaire », précisant que l’accès aux rencontres sera gratuit.
Un premier indicateur sera donné jeudi, à l’occasion du match d’ouverture entre la France et les Pays-Bas (14 h 30), au Stade du Commandant Bougouin à Rennes. Médaillées d’argent aux Jeux Mondiaux 2015 en Corée du Sud, les Bleues comptent cinq « Bretonnes » en leur sein (sur une sélection de 23) : les Malouines Justine Gourvil (capitaine) et Léa Le Garrec, et les Guingampaises Caroline La Villa, Charlotte Lorgeré et Faustine Robert.
Jeremy Goujon